Outre le pénis, premier organe érogène évident, d’autre parties du corps masculin sont des zones aux vertus très érotiques. Tout cela est très sérieux puisque ces zones sont directement tirées d’une étude publiée dans la revue internationale de neurosciences Cortex en 2013.
Par ordre, du plus au moins érogène (coté sur 10) :
La bouche et les lèvres
En deuxième position dans le classement, après le sexe, on retrouve une partie tout aussi évidente : les lèvres ! Les hommes interrogés pour l’étude les ont cotées 7/10. Alors, pour allumer monsieur, rien ne vaut un vrai baiser sauvage et langoureux.
Les testicules
Elles remportent, elles, la modeste note de 6,5/10 dans le sondage. Trop souvent négligées, elles sont donc une zone érogène en bonne place sur le podium!
L’intérieur des cuisses
Cette zone remporte la modeste note de 5,8/10 ! A noter que chez les femmes, cette zone arrive plus loin dans le classement que chez les hommes, après le haut de la nuque, les seins et les mamelons.
Le haut de la nuque
Vous aimez passer vos mains dans ses cheveux et le haut de sa nuque pendant vos longues étreinte ? Continuez, il adore ça.
Les mamelons
Vous pensiez qu’il n’y avait que vous pour aimer ça, mesdames ? Et bien non ! Les mecs aussi. On évitera néanmoins les morsures trop violentes ou pincement excessifs…
Le périnée
Le périnée est cette paroi inférieure du pelvis, qui va de l’anus à au bas du pénis. Avec 4,8/10, c’est donc une zone érogène à ne pas sous-estimer non plus. Notons que c’est quand même le 3ème point proche du sexe depuis le début du classement. Les hommes sont manifestement un peu moins difficiles que les femmes.
La nuque
Bon, pas très original sur ce coup-là : après la haut de la nuque, on découvre que… la nuque est, elle aussi, une zone érogène. Incroyable!
Et le plus sexy pour la fin… les oreilles
Qui l’eut cru ? Il n’y a pas que votre chien Nestor qui apprécie les caresses derrière les oreilles… votre conjoint aussi !
Vous voilà bien informée désormais pour faire plaisir à votre conjoint ce soir… Sous la couette !
Source : Le figaro
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